Le candidat – Joe Dalton

Publié le 21 avril 2007 par fredouille

Pour bien éclairer le lecteur sur le personnage, sans pour autant prononcer son véritable nom déjà trop présent, je le nommerais ici et dans les quelques prochains articles : « joe Dalton ». Il est petit, complexé, agressif, colérique à un tel point que la barrière de son intelligence d’avocat ne parvient pas toujours à être suffisante pour qu il puisse se maîtriser entièrement, et contenir ses caprices et ses débordements haineux. "Il est tellement fort, qu'il est plus fort que lui-même" disait un de ses collaborateur...Joe, lorsque qu’il est en proie face à ses crises de contrariété hystériques, est prêt à tous balayer. En compensation, il a une arme plus grosse que lui (aussi grosse que son orgueil) et il n’hésite pas à s en servir, le visage grimaçant, il tire rapidement dans tous les coins, mais ne vise jamais la cible (et de tout de façon, il la raterait) ; il aime tirer, Joe, il aime se défouler, faire du bruit, et si possible humer la bonne odeur de sang.

Ce candidat est cerné par la critique, par des vidéos, ou medias en tout genre qui soulignent une vérité avec des arguments à la fois si diverses et si polarisés (mais bien souvent justifiés), qu ils le font presque passer pour une victime et que tous les maux, les défauts, les traits de caractères dont on l accable paraissent exagérés. Mais ce militantisme effréné répond à une démagogie, à un populisme démesuré, voir à du fanatisme. Joe Dalton est aujourd’hui assailli par une nué de moustiques, et subit les conséquences de son arme favorite: la propagande, et calquant ce comportement sur celui de ses prédecesseurs du FN, il n a pas d autre choix que de jouer les martyres.

Cet individu dont la mégalomanie et la dangerosité crève les yeux par des détails nombreux, ses paroles, ses comportements et les faits est arrivé une fois de plus à une phase critique de sa carrière. Et je me dis maintenant, que fort de plusieurs années d’observation et de constats évidents, une personne qui ne serait pas convaincu du danger qu il représente ne le sera plus d’avantage avant son éventuel élection (pourvu que non), quelques soient la pertinence des arguments. Donc je n essaye pas de convaincre, de réunir tous ces arguments et d en faire l analyse, d'autre le font déjà très bien. Cet article, bien trop long par rapport à sa perspicacité n’a pour vocation que de me défouler un peu, partager mon inquiétude (je frémis en repensant à notre précédente expérience électorale) et surtout de surnommer l’innommable pour d'éventuels prochains articles.